lundi 1 septembre 2008

Clin d'oeil du long week-end (vol.8)

Toutes les personnes dont peut-être certains parmi vous, chers lecteurs, qui avez un grand jardin, vous délectez d'un bon concombre à chaque repas ou parfois même, les coquins, en entrée, trempés dans du vinaigre. N'est-ce pas là un des plaisirs les moins cachés de la période estivale?

Et bien chez nous, point de concombre, chers amis. Est-ce à cause de la température? Est-ce à cause qu'on n'a pas de plants dans notre jardin? Et bien non.

C'est que par chez nous, nous avons des écureuils disons, précieux. Voyez-vous, ils ne veulent plus rien savoir de leur menu habituel. Ils ont décidé que cet été, ce sont les concombres qui consisteraient la base de leur alimentation. Et nous sommes, il faut l'avouer, leur fournisseur le plus important.

Si quelqu'un a un truc pour l'été prochain, qu'il n'hésite pas. Je suis tanné de voir des rats avec de belles queues transportant notre récolte, émettant un cri qui ressemble à un rire sarcastique.

11 commentaires:

Anonyme a dit…

Haha (rire plein de compassion)

Chez nous, c'est Marguerite (une taupe) qui fait des ravages dans le jardin. Mais elle nous laisse les concombres, elle préfère nettement mieux les carottes, laitues et autres légumes du jardin.

Elle a même hérité d'un nom, la vilaine.

La Souimi a dit…

Lorsque j'habitais la petite maison rose, c'était le lièvre boulimique qui faisait la fiesta des bulbes de tulipes. La voisine nous avait conseillé de mettre des cheveux sur nos plates-bandes. Nous sommes déménagés avant de voir si cette stratégie était efficace.

Une femme libre a dit…

Il n'y a rien à faire. Un été, mon voisin et moi, on les attrappait dans des cages piégées et on allait les porter loin, très loin en voiture. Mon voisin, méthodique et ambitieux, les laissait à la campagne. Pas trop intelligentes les bestioles, car, elles avaient beau voir leur congénère se faire prendre dans la cage, clac! elles venaient se faire prendre à leur tout. On en a pris deux-cent vingt-cinq pendant l'été. Et il y en avait toujours autant. Pour mon voisin, c'était devenu son activité principale. Il ne faisait plus que ça, transporter nos écureuils maléfiques loin, très loin, toujours plus loin. Il en a attrappé un cancer à l'automne. Alors, je vous préviens, ne tentez rien, souriez, achetez de bon coeur vos concombres à l'épicerie, faites donc bien attention, En Saignant et pensez à votre santé parce que les écureuils si on tente (toujours en vain) de les éliminer peuvent donner le cancer.

Anonyme a dit…

j'ai un truc pour amadouer les suisses mais pas les écureuils... désolée!

Tu peux faire comme les méchants monsieur à l'halloween et mettre des lames de rasoir dans les concombres! ;)

p.s. serait-ce un début de complexe que de les détester parce qu'ils ont de "belles queues"? les détesterais-tu autant si c'était des rats à laides queues?

Anonyme a dit…

Un fusil.

Luc

Prof Malgré Tout a dit…

Malheureusement, le truc de La Souimi n'est pas une option. Franz Liszt pourrait, lui.

Missmath a dit…

Mon meilleur ami qui habite le centre-ville de Mourial a eu le même problème que toi. Après quelques méthodes plutôt violentes, il a opté pour la douceur : il les déporte dans le 450.

Sinon, ceci pourrait peut-être aussi faire l'affaire.

Missmath a dit…
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
L'ensaignant a dit…

Au moment même où j'écris ces lignes, il est là et il me regarde, un concombre bien coincé entre ses deux pattes avant. On dirait même qu'il me sourit. L'an prochain, on fait pousser des aubergines. Il est aussi bien de s'entraîner fort cet hiver, l'écureuil...

Lapsus a dit…

Un fusil, oui monsieur. un bazooka s'il le faut. La bête bouffe aussi mes tomates. Je suis content de savoir que je ne suis pas le seul.

Méli a dit…

Du grillage ? Je sais, c'est pas évident dutout !