Je rêve parfois, souvent, si peu
Que tout arrive pour une raison
Que mon bonheur, même malheureux
Se pointe puis part comme les saisons
L'hiver et ses froids grelottants
Le vent qui souffle à rendre l'âme
Et mon coeur qui bat faiblement
Qui ignore tout, qui ne se pâme
Le printemps avec ses odeurs
De feuilles mortes et oubliées
L'éveil se fait tout en douceur
Je me découvre, dépareillé
L'été et ses plages gribouillées
De vomissuress des océans
J'attends l'avenir, cherche mon passé
La tête cachée dans le néant
Et lorsque l'automne fait son chemin
Et efface tout de ses grands airs
Je reste là, c'est mon destin
Les bras croisés, j'attends l'hiver
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2 commentaires:
J'ai bien aimé ce poème,
Heureusement que je ne l'ai pas commenté,
Ça m'a permis d'en lre un deuxième,
Tout aussi pimenté.
La persévérence, voire même l'entêtement sont les meilleures armes contre le décrochage.
Merci. La persévérance, je commence seulement à l'apprivoiser. C'est weird comme parole venant d'un prof mais pourtant, c'est toute la vérité.
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