...tout commençait ici. Une partie de ma vie se terminait du même coup, sans regrets.
Et là, en un samedi suivant une soirée trop bien arrosée, comme l'envie de me réinventer encore un peu, une autre fois. M'en tenir à l'essentiel. Point.
Si vous saviez tous les projets que j'avais pour ce billet historique de ma courte histoire. Ça sera pour une autre fois. On a beau créer dans la souffrance, il existe aussi des moments où on doit s'approcher de nos égratignures jusqu'à les sentir. Sans médium pour prêter à l'interprétation.
Un dernier mot, que je ne vous ai pas dit depuis longtemps mais qui résonne toujours sur ce blogue: merci. Et l'essentiel, ce soir, en ce moment, c'est tout ça.
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10 commentaires:
Eh bien bonne fête! Puisses-tu continuer à nous faire profiter de ta prose, et aussi de ta poésie, encore longtemps! :)
Bonne fête! Et un gros merci pour les formidables billets si touchants et vrais.
Un joyeux bloganniversaire mec!
C'est toujours un plaisir de venir te lire.
C'est l'anniversaire du blogue, alors célébrons cette année de billets cadeaux que tu nous as offerts.
Merci à toi et bon anniversaire.
Pourquoi nous dire merci quand nous sommes les personnes que tu chéris? Sans blague, tu es un rendez-vous virtuel toujours stimulant et des collègues d'une douce folie et d'une authenticité comme toi, il en manque dans mon école.
Longue vie virtuelle et réelle, En saignant
joyeux anniversaire de blogue!
merci a toi
Un an d’écriture, où le texte publié est toujours bien fignolé, ça se souligne … en rouge.
Bien que je ne commente pas souvent, (shame on me), j’aime vous lire. Alors, la jeune retraitée de l’enseignement que je suis, souhaite que vous poursuiviez l’aventure encore longtemps.
Tu ne permets pas les commentaires sur ton dernier billet... M'en fous, je t'écris ici. Si tu as besoin de parler, tu as mon adresse... Je suis là.
Bonne fête de blogue!... et bravo pour tes billets parfois émouvants, parfois ludiques mais toujours juste à point.
Bonne blogofête! Tu es toujours divertissant. La fois où j'ai plus ri, c'est quand tu as monté la trampoline. Je t'IMAGINAIS.
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